Avec cet article sur Letizia Battaglia – très grande dame de la photographie italienne – j’inaugure une nouvelle série intitulée « Les décryptages photos de Phil Body ». L’idée est de se pencher sur le travail d’un ou d’une photographe en essayant de comprendre l’évolution de son œuvre au fil de sa vie.
Le château de Tours présente jusqu’au 18 mai prochain une grande rétrospective sur le travail de Letizia Battaglia – coproduite par le Jeu de Paume à Paris.
Letizia Battaglia – la photographie pour se libérer et libérer les autres
L’exposition retrace le travail de Letizia Battaglia depuis ses premières années (1970 – 1980 ) où elle documente les agissements de la Cosa Nostra – la redoutable mafia sicilienne – pendant ce que la presse appela les années de plomb – jusqu’à sa mort, en 2023
Letizia Battaglia – la renaissance grâce à la photographie
Dans une de ses interviews, Letizia Battaglia explique comment le journalisme, puis la photographie vont lui permettre de changer de vie. Lorsqu’elle a 10 ans, elle se fait harceler par un homme qui se masturbe en pleine rue devant elle. En réaction, son père lui interdit de sortir sous prétexte qu’elle excite les hommes. À 16 ans, elle va épouser un homme plus âgé qu’elle pour échapper à ce père qui ne lui laissait aucune liberté. À 37 ans, elle se débarrasse de ce premier mari, tout aussi autoritaire et oppressant. Elle divorce et quitte la Sicile pour s’installer avec ses 3 filles à Milan avec le photographe Santi Caleca.

Letizia Battaglia – Palerme – homme assassiné par la mafia
Dans cette image en apparence brute de décoffrage, on sent parfaitement la volonté de la photographe : nous montrer la réalité des crimes mafieux dans toute leur sauvagerie et brutalité. Il n’y a aucun écran, aucun premier plan entre le cadavre et le spectateur. Le point de vue adopté (à hauteur de sujet) est important. L’auteure s’est baissé pour prendre la photo, comme on fait pour les enfants et pour les personne âgées assises. Cela donne un sentiment d’intimité comme si elle connaissait la victime. Ce point de vue l’humanise et ajoute à la force du message. L’utilisation du flash, indispensable dans ces conditions à l’époque, ajoute du contraste à la scène. Sa lumière dure, directe et frontale révèle chaque détail : la saleté du lieu du crime, la tâche de sang, la couverture jetée à la hâte, l’étrange position du visage. La plaque d’immatriculation « PAXXX » donne un indice de lieu, Palerme bien sûr. C’est fort, puissant sans jamais rechercher l’esthétisme qui serait ici évidemment totalement déplacé.
D’abord journaliste, puis photographe par nécessité
Pour gagner sa vie, elle travaille comme journaliste et comme on lui demande d’illustrer ses articles, elle se met à la photographie qu’elle apprend en autodidacte. C’est un parcours classique, car à cette époque l’image n’intéresse la plupart des rédacteurs en chef que comme illustration des reportages. La technique photographique la rebute un peu, mais elle se passionne de plus en plus pour ce média.
En 1974, elle retourne en Sicile pour diriger le service photo de L’Ora, un quotidien de gauche. Elle y restera une quinzaine d’années. Palerme est à cette époque le théâtre d’une guerre sans merci entre différents clans mafieux et contre tous les représentants de l’état et les journalistes. Avec l’arrivée du trafic d’héroïne, les combats s’intensifient et vont faire plus d’un millier de morts.
Seule femme dans un milieu très masculin, elle va se battre pour couvrir les assassinats quotidiens. Ses images sont crues, montrant la violence dans toute son horreur. Des cadavres abandonnés à la vue de tous, dans l’espace public, sur un trottoir, dans la rue, un parking.
Ses photos peuvent alors paraitre choquantes. Elles montrent la violence dans toute sa nudité, sa brutalité. La photographie de faits divers est un genre ancien et très ingrat. Les principales qualités d’un photographe de faits divers c’est d’être là à temps et d’arriver à franchir le cordon de la police pour pouvoir faire une image. Plus simple à dire qu’à faire.
Il faut donc être informé, toujours prêt à se rendre sur les lieux et savoir s’imposer. Autant de choses qui pour Letizia Battaglia,sont juste 3 ou 4 fois plus compliquées que pour ses collègues masculins. Elle évolue alors dans un milieu presque exclusivement masculin et ses premiers rapports avec la police sont difficiles. On ne lui demande pas de faire de jolies compositions, mais elle travaille ses cadrages un peu à la façon de Weegee – un photographe américain (1899 – 1968) – célèbre par son traitement des faits divers et ses photos de crime.

Weegee – Victime d’un règlement de compte – New York
Une photo de Weegee : le photographe s’est baissé aussi et ne met rien entre le cadavre et le spectateur. C’est la proximité qui est recherchée. Il inclut d’autres personnages, ce que fera également Letizia Battaglia par la suite. Certains regardent le cadavre, d’autres le photographe. Le photographe américain utilise également le flash, mais le maitrise dans cette image un peu moins bien. L’italienne relève son réflecteur de façon à ne pas surexposer le premier plan, créant ainsi un effet tunnel qui amène immédiatement au sujet – comme sur la photo précédente.
Comme lui, elle travaille au plus près, utilise le flash – ce qui est une contrainte technique de l’époque due à la faible sensibilité ISO des pellicules. La lumière enveloppe le sujet, laissant le reste de la scène dans une obscurité menaçante. Cette proximité est ce qu’il y a de plus difficile dans ce genre photographique. Car Letizia Battaglia doit avoir l’autorisation d’approcher. On retrouvera ce travail sur les ombres dans ses photographies plus tardives, sans le flash cette fois.
Petit à petit elle devient proche et même amie des principaux inspecteurs et juges anti-mafias de l’époque qui reconnaissent son engagement. Elle est ainsi proche de Boris Giulianoet Giovanni Falcone pour ne citer qu’eux. Et elle photographiera plus tard leurs cadavres, la douleur de leurs veuves et de leurs enfants dans une spirale infernale qui la laissera durablement meurtrie.
Selon ses propres mots:
mes archives sont remplies « de sang, […] de souffrance, de désespoir [et] de terreur »

Letizia Battaglia
1979 – Arrestation de Leoluca Bagarella, l’un des plus féroces parrains de la mafia. Voyant la photographe, il tentera de se jeter sur elle – qui prendra cette photo presque par réflexe. Tout est dans le sujet. Le vignettage très fort – dû au flash lorsque celui-ci ne couvre pas tout le champ de la focale – sert parfaitement l’image. De nouveau, grâce à la proximité, on est complètement dans l’image.
Du fait divers au reportage en profondeur
Mais tout comme Weegee, elle va prendre conscience des limites de la photo de faits divers. Les images de meurtres, de morts s’enchainent, mais finissent par se ressembler ce qui risque de limiteur leur puissance et la portée du message. Alors elle commence à photographier les scènes autour du meurtre. Les proches des victimes et leur douleur, la foule, les curieux. Cette fois, il faut cadrer plus large et mieux composer. Plus Letizia Battaglia s’implique, plus elle pense que la photographie peut aider à changer les choses. Elle est en cela très proche de la Photo League – un mouvement fondé en 1936 qui entend travailler avec honnêteté sur les questions sociales – pour faire évoluer les choses grâce à la photographie. Parmi ses membres quelques-uns des photographes qui inspireront son travail comme William Eugène Smith dont je vous ai déjà parlé dans cet article.
« Je n’allais pas photographier la guerre ; je vivais de l’intérieur de la guerre »
Son conjoint de l’époque, Franco Zecchin, également photojournaliste résumera leurs motivations ainsi :
« Par rapport au travail sur la mafia, l’idée avec la photographie était de construire une mémoire en opposition à l’omerta, à l’oubli »

Letizia Battaglia
La composition de cette image est plus élaborée. Pour montrer la foule, Letizia Battaglia a du cadrer plus large. Au risque de diluer l’information et la puissance de la scène. Elle utilise les 2 personnes en premier plan (dont le chef de la police Boris Giulianno à droite – qui sera bientôt assassiné) – qui regardent vers le sujet (la femme effondrée) pour diriger le regard du spectateur. Les lignes des 2 voitures blanches ont également ce rôle et le placement au centre de son sujet garantit une lecture rapide. Enfin, quasiment aucun des protagonistes de l’image ne la regarde, ce qui constitue une performance. Résultat, notre regard se dirige immédiatement vers la femme, pourtant relativement petite dans l’image et le cadrage large permet de montrer la rue, la foule, la scène dans son entier sans perdre la puissance qui émane de la douleur de la femme.
Letizia Battaglia élargit son cadre
Cadrer large est plus difficile souvent que cadrer de très près. Il faut diriger le regard, contrôler les mouvements internes des lignes, des formes. Pour être efficace, l’image doit être capable d’amener le regard à l’essentiel. C’est aussi la démarche d’une photographe qui s’engage. Les meurtres sont le symptôme du mal. La misère, le désengagement du peuple sicilien, la brutalité de la société, le patriarcat impitoyable font partie du problème et elle commence à le photographier.
C’est là que son œuvre commence. Elle s’implique encore davantage – courant des risques inouïs, menacée de mort à d’innombrables reprises. Elle a appris avec la photo de faits divers à s’approcher, à franchir les cordons et contourner les barrières. Ainsi, elle pousse les portes interrogent les gens. Elle profite d’être une femme pour faire ce que peu de photographes masculins peuvent se permettre. Et elle parle, écoute provoque les témoignages. Plus ses photos sont simples plus le sujet est puissant et se suffit à lui-même.
Elle montre une femme et ses enfants qui ne quittent plus leur lit n’ayant rien à faire, dans une pièce sans eau ni électricité. Un nouveau-né, auquel un rat a grignoté u doigt, alors que sa mère épuisée ne se réveillait pas sous les cris terrifiés de son enfant.

Letizia Battaglia
C’est une image terrible. Letizia Battaglia a poussé la porte de cette maison, parlé à la femme, lui demandant pourquoi elle était encore au lit. La femme lui répond qu’elle n’a plus ni eau, ni électricité et ne peut pas préparer à manger. Alors elle dort. La misère est l’une des choses les plus difficiles à photographier. La photographe, force les portes, s’impose pour témoigner. Il faut du courage, de l’obstination, et être totalement convaincu de l’utilité de sa mission pour aller ainsi pénétrer dans l’intimité douloureuse des gens. Le cadrage est simple et terriblement percutant à la fois.
Comme la guerre de la mafia fait rage, la presse internationale afflue en Sicile. Letizia Battaglia et son compagnon parlent couramment 3 langues et servent fréquemment de fixeurs aux photographes américains et français. Un fixeur est une sorte de super guide local qui connait le terrain, le sujet et participe activement au reportage. Elle va ainsi rencontrer plusieurs photographes de grand talent qui vont l’aider à étoffer ses compositions. Le français Joseph Koudelka lui apprend l’importance du cadrage, et comment ne rien perdre de sa spontanéité tout en travaillant plus ses compositions.
Des compositions de plus en plus élaborées
Elle va utiliser ses techniques pour photographier la douleur des femmes, des proches. Elle montre d’autres aspects de cette lutte sanglante, ses répercussions et à travers ses images de la misère qui règne alors en Sicile, une des causes profondes de cette violence.

Letizia Battaglia
Quartier Saint-Pierre, Palerme, femme dans son appartement. Tout comme Françoise Huguier – Letizia Battaglia a un donc pour se faire accepter dans l’intimité des gens. Parce qu’elle est honnête, convaincue, passionnée, intègre et que les gens savent « sentir » cela. Et l’on voit la misère, les logements exigus, les murs dévastés et l’immense dignité de la personne. Là encore, pas de premier plan, on entre directement dans le vif du sujet. On est là avec la photographe. Pas de filtre, pas de cadrage compliqué, pour en effet de réel maximum.
Petit à petit son style personnel émerge et s’impose. Elle utilise beaucoup les ombres pour créer une ambiance et pas seulement pour leur graphisme. Elle photographie près lorsqu’elle veut mettre l’accent sur son sujet. Rien ne vient se placer entre le spectateur et le sujet. Elle dirige ses sujets, leur demande de se placer là, de lever ou baisser la tête, de changer la direction de leur regard. Elle fait cela parce qu’elle a été acceptée comme photographe et a établi une relation de confiance avec ses sujets.

Letizia Battaglia
C’est l’une des images emblématiques de son oeuvre. Il s’agit du portrait de Rosaria Schifani, veuve de Vito, l’un des gardes du corps du juge Giovanni Falcone tué avec ses collègues en 1992. La photo est prise lors des obsèques.Letizia Battaglia qui la connait bien, remarque l’ombre sur son visage et lui demande de baisser les yeux. Une idée de génie, car ainsi, Rosaria semble être entièrement seule au monde avec sa douleur de veuve et de mère. Il n’y a plus de lien avec le spectateur qu’elle ne regarde pas. Nous ne pouvons rien faire d’autre que contempler impuissants sa détresse. Cette photo signe un très très grand talent.
Ses cadrages deviennent plus rigoureux, plus osés, tout en gardant la même rigueur documentaire et photojournalistique. Elle étoffe la forme, mais celle-ci est toujours au service du fond, du message, du propos. Elle ne fait jamais une belle photo pour une belle photo.

Letizia Battaglia
La petite fille et l’obscurité. Une image très représentative de son travail. le jeu des contrastes en noir et blanc, des formes, des lignes est magnifique et beaucoup de photographes se régaleraient avec un tel cadre. Mais ça, c’est la forme. Ce qui intéresse Letizia Battaglia, c’est le fond, le sujet, le message. Dans la lumière, une jeune fille, magnifique, libre avec sa jolie robe. La pureté, l’enfance. Dans l’ombre, proche d’elle, mais ne la touchant pas, un homme lunettes de soleil sur le visage, l’air sombre, partiellement caché dans l’obscurité. On pense à la photographe elle-même cloitrée par son père, interdite de sortie parce qu’elle « excitait les hommes » selon lui alors que c’était elle qui s’était fait harceler. Letizia Battaglia est au fait de son talent dans cette image inoubliable.
Sa Petite fille au ballon, quartier de Cala prise en 1980 acquiert une renommée internationale. Letizia Battaglia déclare en 2021
« Je ne vise pas tellement l’âge de l’innocence, je recherche avant tout l’âge de la liberté. Les filles et les garçons que je représente ne sont pas beaux et potelés, mais minces et émaciés. Comme je l’étais [à l’époque de son agression]. Je recherche en eux un regard qui ne soit pas sournois et prédateur, mais pur et spirituel. »

Letizia Battaglia – La jeune fille au ballon. Quartier Cala – Palerme 1980.
Letizia Battaglia – une implication totale
En 1985 elle s’engage en politique et lutte contre la mafia et la corruption. Elle montre à tous par son exemple que c’est l’engagement des citoyens qui peut changer le quotidien. Jusqu’en 1992, elle continue son travail de documentation contre la mafia, et passe à la vitesse supérieure en devenant militante. Elle expose des grands tirages des victimes dans le centre de Palerme et des villages – jusque sur la place de Corleone – fief du principal et plus dangereux clan mafieux. Elle reçoit de nombreuses menaces de mort, mais ne se cache jamais et ne réfrène aucune de ses activités militantes.
L’assassinat de ses amis, les juges Giovanni Falcone et Paolo Borsellino en 1992, est un choc pour elle et elle décide d’arrêter la photographie des scènes de crimes.
Revenir à la vie
À partir de l’élection de Berlusconi, la lutte contre la mafia recule et Letizia Battaglia ne reçoit plus de travaux de commande de la part de la presse.Elle se lance dans un projet « Rielaborazioni » pour lequel elle ajoute à certaines de ses archives des photos de corps féminins, généralement au premier plan et agrandies. Le but est ainsi de rappeler les évènements traumatiques du passé qui ne doit pas être oublié tout en incluant, selon Letizia Battaglia, une forme d’espoir incarnée dans l’adjonction de ces nouveaux visuels, les femmes représentant « la possibilité de régénération et d transformation »

Letizia Battaglia
Dans cette image, on retrouve le tueur féroce, mais cette fois, tout autour le contexte a changé, c’est la paix, la détente, le plaisir. Pas de peur, la jeune fille ferme les yeux, en confiance. Au fond, le quotidien d’une scène de plage l’été. Letizia Battaglia tente par ces montages, ces images sorties de leur contexte de guerre et placées dans un environnement totalement différent de conjurer la violence de ces photos. Croire au futur, croire qu’une autre Sicile est possible, mais ne pas oublier. Ce genre de projets est beaucoup plus réfléchi, intellectuel. Il suppose que ceux qui regardent connaissent l’image montrée ou au moins le contexte et l’époque.
En 2017, elle crée un centre international de la photographie à Palerme. Un peu musée, école, lieu de rencontre qu’elle va diriger pendant 3 ans.
Disparue, le 13 avril 2022, elle laisse en héritage une œuvre de plus de 500 000 clichés qui s’articulent autour de 2 grands thèmes , la mort d’un côté, la vie de l’autre. Letizia Battaglia est considérée par beaucoup comme la marraine de la photographie documentaire du XX° siècle. Comme W. Eugene Smith elle est une « concerned photographer » plus actrice que simple témoin, une démarche similaire à celle de Donna Ferrato avec qui elle était amie.
Influences photographiques
Diane Arbus, Mary Ellen Mark, Sebastião Salgado, Eugene Richards, Sally Mann,Enzo Sellerio et Weegee.
Prix et récompenses
- 1985 : prix W. Eugene Smith111, ex aequo avec Donna Ferrato
- 1999 : Photography Lifetime Achievement des Mother Jones International Fund for Documentary Photography
2007 : prix Erich-Salomon
2009 : prix Cornell-Capa
Elle figure dans la liste de « Peace Women Across the Globe » qui compte 1 000 femmes nommées pour le prix Nobel de la paix.
Infos pratiques
France culture – podcast : https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/toute-une-vie/letizia-battaglia-1935-2022-une-photographe-hors-les-murs-2282000
Château de Tours – 25 avenue André-Malraux – 37000 Tours – 02 47 21 61 95
Horaires
Mardi à dimanche • 14h – 18h
Fermeture le lundi et le 14 juillet
Dernière entrée : 17h30
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Merci. Ce décryptage photographique d’une tranche d’histoire de l’Italie, au plus près des évènement grâce à cette d’une grande photographe, est une vraie leçon de photographie où pour une fois la « forme est le fond qui remonte à la surface ».
Merci JJ
Merci pour cet article.
C’est très documenté et j’ai été très intéressée.
Merci Isabelle, tu as été voir l’expo à Tours ?
Merci j’ai vu cette très impressionnante exposition. Ton analyse de ces images bouleversantes m’incite à y retourner avant que l’expo ne s’arrête.
Bonjour Bénédicte, oui la programmation du jeu de paume est très bonne en général et c’est vrai que lorsque l’on « revient » le ragrd est différent, plus affuté un peu. Bonne semaine
Merci de nous partager vos articles très intéressants.
Merci Denise, d’avoir pris le temps de laisser un commentaire. Je suis très content que cet article vous ait plu. Bonne semaine.
Article passionnant !
Merci Bernard, bonne journée